Poème d'amour # 148
Le Temps D'Une Danse
La démarche hésitante, elle vient vers moi,
Me présentant élégamment ses si beaux doigts.
A la vue tes lèvres, mon corps revigoré,
T'implore pour que tu te joignes à mes côtés.
Vivons, éphémère, cette si belle romance.
Je t'en prie, donne-moi ton être, le temps d'une danse.
Et lorsque la musique vient combler le silence,
Je réalise ô combien j'ai de la chance,
D'avoir à mes côtés cette si belle fille,
Que chaque homme aurait aimé avoir dans sa vie.
Vivons, éphémère, cette si belle romance.
Je t'en prie, donne-moi ton être, le temps d'une danse.
Ce n'est pas nos corps qui fusionnent, ce sont nos âmes.
Et regarde autour de nous tout ces infâmes,
Jalousant, insultant la terre que nous foulons.
Qu'importe, rien ne détruira notre passion.
Vivons, éphémère, cette si belle romance,
Je t'en prie donne-moi ton être, le temps d'une danse.
La cadence de nos pas fait écho dans ce monde,
Dont la convoitise, les gens ne sentent que l'onde.
Tu sais, la peine a déjà perdu tout son sens,
Au commencement même de notre romance.
Le temps d'une danse, mon corps est rempli de joie.
Donne-moi un peu de nous, donne-moi un peu de toi.
- Geoffroy Benfeghoul -
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